L’ensemble des informations est mis à disposition de l’organisation de production avec laquelle travaille l’éleveur afin d’enrichir sa connaissance du parc de bâtiments et identifier les points d’amélioration.
La même approche a été adoptée pour les poux rouges avec 35 à 40 points de contrôle, qui reprennent sensiblement les mêmes items. Ces données, à l’échelle d’une organisation vont permettre de détecter les bonnes pratiques, « certains éleveurs ont aussi des astuces qui sont intéressantes à partager », souligne Aurélien Desroches, responsable grands comptes au sein du laboratoire. Enfin, le diagnostic est l’occasion de sensibiliser les éleveurs sur la nécessité d’agir en préventif, en amont de la saison à risque afin d’éviter les problèmes d’œufs tachés.