L’Anvol, l’Interprofession française de la volaille de chair, se félicite de la mesure, qui participe à lutter contre la concurrence des importations à bas coût.
« Au 1er semestre 2021, 46 % des poulets consommés en France provenaient de l’étranger. Une proportion qui grimpe jusqu’à près de 80 % lorsqu’il s’agit des approvisionnements des établissements de restauration », rappelle l’interprofession.
Les professionnels de la Volaille Française attendent maintenant que cette obligation d’identification de l’origine française des viandes en RHD s’étende aux viandes transformées et élaborées. Le décret est en effet limité aux viandes fraîches réfrigérées, surgelées ou congelées. L’Anvol entend également œuvrer pour étendre ces obligations dans toute l’Union Européenne.